Tiago Tejo, street artiste à Lisbonne, joue avec cette tradition en déformant les motifs par une unité informatique contemporaine: le pixel. Il joue ainsi de la confrontation d’un art vieux de cinq siècles et d’un langage informatique moderne.
Hier soir, j’ai vécu une soirée un peu spéciale, où tout le monde avait son smartphone à la main, et les yeux qui oscillaient entre l’écran géant derrière la scène et celui de leur téléphone. Bienvenue dans la soirée Patchwork 2.0 animée DJ James et par l’application de La Moustacherie!
J’ai été intrigué, il y a quelques jours par les dessins d’Amandine Urruty sur les murs de la librairie toulousaine Ombres Blanches. Cette illustratrice originaire du Gers dessine au crayon de couleur des personnages et animaux à l’univers décalé, acidulé et enfantin. Mais derrière cette facette attractive, ses dessins donnent une seconde lecture plus répulsive lorsqu’on s’attarde sur les détails.
Pierre Montagnez, photographe toulousain, a vécu le festival Burning Man et a ainsi ramené quelques clichés de son périple au coeur de ce monde anticonformiste. Présentation sa superbe série « Galaxy of Nowhere ».
Voici un livre, « C’était mieux maintenant », qui m’a intrigué lorsque je l’ai vu sur l’étal de ma librairie préférée. Je connaissais les travaux de Jif pour ses photos de groupes et ses photos live mais moins pour des photos plus intimistes et déroutantes.
Voici des objets qui auraient pu finir au rebus, mais Martine Camillieri en a décidé autrement. Cette artiste plasticienne est pionnière en matière de détournement et de recyclage, et propose des façons ludiques de consommer notre quotidien.
Pour sa dernière réalisation, Anarchy in the UK, Tilt a revisité l’Union Jack à la sauce Sex Pistols. En effet il a peint un mur de 16 x 8m au Village Underground à Londres, où il transpose les fameuses paroles du titre « God saves the queen ».
Toulouse s’est parée de QR codes géants cet été sur certains panneaux Expression Libre de la ville. Initiateur de ce
Miss Van est une artiste toulousaine expatriée à Barcelone qui a commencé à peindre dans les rues de la ville rose au début des années 90. Ses premières fresques de personnages féminins à l’acrylique et au pinceau étaient totalement novatrices dans le paysage urbain, traditionnellement masculin. Les femmes-enfants pulpeuses, subversives et parfois trash étaient sa marque de fabrique.
Rencontre avec Caroline Castagna la créatrice de la marque My Name Is Simone et sa tribu de personnages rigolos.
Tazas Project, collectif graphique toulousain, regroupant plusieurs artistes et designer a conçu une machine à sérigraphier pour y imprimer des cartes postales signées par Guillaume Beinat, Oze Tajada, Benjamin Stoop et Jeremy Delhuvenne. Petite visualisation du process d’impression de ces cartes bichromiques.
Aujourd’hui, je vais vous parler d’une exposition hors des courants habituels. Initiée par La Moustacherie, des activistes de l’imprimerie et des médias numériques, l’exposition est organisée dans la rue, à ciel ouvert, afin de démocratiser le monde artistique.